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La publication de textes, de photos ou de vidéos repris d’autres sources n’implique nullement une adhésion à leur contenu. Les commentaires n'engagent que leurs auteurs.        

 

La liberté d'opinion et d'expression est considérée comme une des libertés fondamentales de l'être humain. Elle est citée à l'article 19 de la Déclaration universelle des droits de l'homme comme suit : «Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit.»

Blog sous la protection de l’article 10 du deuxième Traité de la Convention de Berne, l’article 10 de la Convention européenne des droits de l’homme et l’article 19 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, défendant le droit de tous à l’information et le droit à la liberté d’expression et d’opinion.

Tous Les Gifs

27 février 2011 7 27 /02 /février /2011 12:56

Dimanche 20 février 2011

L'église Saint-Bonaventure, située rue Barbès près de l'avenue Anatole-France à Narbonne (Aude), a été la cible d'un acte de vandalisme dimanche.

 

Les dégâts sont limités, mais la communauté des frères franciscains a été choquée en découvrant le triste spectacle, dimanche après-midi. 6 kg de poudre blanche déversée par un extincteur ont été répandue partout, et l'harmonium a été renversé et endommagé. Les objets de culte ont été épargnés.

 

Toute une matinée a été nécessaire pour remettre l'église en état.

Une plainte a été déposée au commissariat. La police s'est rendue sur les lieux pour effectuer des relevés d'indices. Les faits ont dû être commis entre 15h30 et 16h30, le lieu de culte étant ouvert au public de 6h45 (prière communautaire) aux vêpres de 19h15.
Le préjudice doit être précisément évalué aujourd'hui.

 

sourceMidi Libre

Publié par : http://indignations.org

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27 février 2011 7 27 /02 /février /2011 12:52

Samedi 19 Février 2011

L'église Saint-Martin, à Bayel (Aube) a subi des actes de malveillance dans la journée du samedi 19 février 2011.

Les cierges mis à disposition devant la statue de la Vierge de Lourdes ont été brisés, d'autres allumés tandis que toutes les allumettes mises à la disposition du public ont été consummées et jetées au sol.
Espérons qu'il ne s'agissait pas d'une tentative d'incendie comme à L'église de Bizanos.

 

source : L'est Eclair

Publié par : http://indignations.org

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27 février 2011 7 27 /02 /février /2011 04:01

du Jeudi 17 au dimanche 20 février 2011

 

Par trois fois, une personne a allumé des feux dans l'église de Bizanos, près de Pau (Pyrénées-Atlantiques). Le maire, André Arribes, a pu constater les dégâts :

« Jeudi, ce sont des décorations de pots de fleurs en papier qui ont brûlé. Le lendemain, même chose et cette fois les pots en plastique ont brûlé ainsi que la nappe de l'autel. Quand le curé est passé à 11 h 30, la nappe était encore tiède », explique l'élu.

Le curé a trouvé des allumettes et des empreintes de pied près de l'autel. Il s'en est fallu de peu que le feu ne prenne aux boiseries.

Le dimanche suivant, ces actes hostiles reprenaient :

« Vers 12 h 30, la personne qui s'occupe de la décoration a mis une nappe neuve sur l'autel. A 13 heures, des personnes ont vu de la fumée s'échapper de l'église », poursuit le maire.

Les sapeurs-pompiers palois sont intervenus aussitôt. Outre la nappe, le feu avait été mis à une table supportant diverses brochures et livres à l'entrée de la nef, dans un coin de recueillement.

« Tout a brûlé ainsi que des boiseries et une toile du chemin de croix. Il s'agit d'une toile répertoriée de René-Marie Castin de 1936 » se désole le maire qui constate qu'une autre toile marouflée et remise à neuf l'an dernier a également souffert de la fumée. « L'église était envahie de fumée et là encore, la personne s'est servie de la boîte d'allumettes à disposition des paroissiens pour allumer les cierges et ainsi commettre son acte. »

Des hommes de la police judiciaire se sont rendus sur les lieux hier après-midi pour relever les empreintes et poursuivre l'enquête.

« On va être obligé de fermer l'église qui restait toujours ouverte », se désole le maire

Le maire face aux dégâts

 

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27 février 2011 7 27 /02 /février /2011 03:43

Addendum 24/02 : l'armée attaque le monastère St Bishoy...aucun média français n'en parle à la différence des agences  et organes de presse internationaux : Asianews, AINA, Continental News, Al Masry Al Youm .

 

Pourquoi ce silence médiatique en France  ?

 

 

 

Nota : minute 2:55 un blessé par balle est secouru

 

(Cette vidéo de la première attaque de St Bishoy a été vue 57 000 fois depuis le 22 février. Les 100 000 seront atteint à la fin du weekend. La Une du Figaro Magazine sur le témoignage du dernier moine de Thibirine était-elle purement commerciale ? Car pour ce qui relève de la même abomination en Egypte, pas un entrefilet ! Des consignes ont-elles été données de ne pas affoler les Français avec l'islam à 20 jours des cantonales ?)

 

 Le Caire, (agence AINA) - Jeudi,  les forces armées égyptiennes ont assailli pour la seconde fois le monastère St. Bishoy qui date du 5ème siècle, à 110 kilomètres du Caire. Des coup de feu ont été tirées, blessant deux moines et six travailleurs du monastère copte. Plusieurs sources ont confirmé l’utilisation par l’armée de munitions RPG. Quatre personnes ont été arrêtées, dont trois moines et un avocat copte qui se trouvait dans le monastère pour l’enquête de l’attaque précédente par l’armée.suite sur Bivouac-ID

Lu dans Daoudal Hebdo du 24 février :

 

"Après une attaque de prisonniers en fuite, les moines de Saint-Boula (monastère fondé au IVe siècle), avaient érigé une modeste clôture et un portail. Le 20 février, l’armée est venue avec des bulldozers pour détruire la clôture.

De même, au monastère Saint-Bishoy (fondé au Ve siècle, site), après que la police eut fait savoir aux moines qu’elle n’avait pas d’effectifs pour les protéger, ils avaient construit un petit mur du côté le plus vulnérable. Alertée par la police locale, l’armée est venue et a détruit le mur. De même, après une attaque qui a fait six blessés parmi les moines, le monastère Saint-Macaire avait édifié une clôture. L’armée est venue et a donné 48 heures aux moines pour démolir leur clôture, sinon elle le ferait  elle-même (ce qui est sans doute fait au moment où vous lisez ces lignes). Ces monastères font partie du plus ancien patrimoine chrétien, tant sur le plan spirituel qu’architectural, iconographique, etc. Ils sont aujourd’hui à la merci des pillards et des jihadistes."

 

Lire l'article intégral dans l'hebdomadaire d'informations politiques et religieuses.

 

 
Publié par : http://www.islamisation.fr

 

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20 février 2011 7 20 /02 /février /2011 16:46

L’évêque de Tunis a été reçu dimanche 20 février par le premier ministre


Le P. Marek Rybinski (DR)

C’est dans le hangar d’une école privée de Manouba, près de Tunis, que le P. Marek Rybinski, salésien polonais de 34 ans, a été retrouvé mort vendredi 18 février au matin, « égorgé après avoir été agressé », selon un communiqué du ministère tunisien de l’intérieur.

Cette école tenue par les salésiens et accueillant plus de 700 élèves (essentiellement musulmans) avait reçu, fin janvier, des menaces de mort dans une lettre confuse adressée aux « Juifs » et demandant de l’argent. Une plainte avait été déposée à la police. « Nous nous sommes sentis visés comme des étrangers », a déclaré samedi 19 février à l’AFP le P. Mario Mulestagno, directeur de l’établissement.

Le communiqué officiel considère que c’est « un groupe de terroristes fascistes ayant des orientations extrémistes qui est derrière ce crime, compte tenu de la façon dont a été assassiné » le P. Marek (il a été retrouvé allongé sur le dos, les pieds orientés en direction de la Mecque, et rien n’a été volé), sans préciser s’il s’agirait d’islamistes ou de nervis de l’ancien régime de Ben Ali.

Vendredi, des islamistes radicaux ont tenté de mettre le feu à une rue où travaillent des prostituées à Tunis. Craignant « des amalgames », le principal mouvement islamiste Ennahda (interdit sous Ben Ali) a « vivement condamné » l’assassinat du P. Rybinski.

« Dégoût, étonnement et horreur »

Le ministère tunisien a dénoncé « vigoureusement » ce crime, affirmant que ses auteurs seront « sévèrement punis » et qu’il mettrait « tout en œuvre » pour garantir la sécurité des ressortissants étrangers.

De son côté, le ministère polonais des affaires étrangères estimait vendredi que ce crime « n’avait pas de lien avec les événements des derniers jours en Tunisie » mais n’excluait pas que « l’assassinat ait pu être commis pour des raisons religieuses ».

L’évêque de Tunis, Mgr Lahham Maroun, qui a exprimé son « dégoût, étonnement et horreur » après l’assassinat du prêtre polonais – « nous sommes choqués, cela n’est jamais arrivé en Tunisie depuis l’ouverture de la cathédrale en 1620 », a-t-il déclaré –, a été reçu dimanche 20 février par le premier ministre. Mohamed Ghannouchi « m’a assuré de son engagement personnel ainsi que de celui de son gouvernement à déterminer rapidement les causes du meurtre », a affirmé l’évêque à l’issue de cette rencontre.

De son côté, Benoît XVI, lors de l’Angélus devant un groupe de Polonais place Saint-Pierre, a appelé les chrétiens à ne pas répondre au mal, à la persécution et à ne pas céder à « la revanche » et à « la haine ».

Claire LESEGRETAIN (avec AFP)

Publié par : http://www.la-croix.com

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19 février 2011 6 19 /02 /février /2011 00:21
Après l'incendie d'une synagogue à Gabès qui avait été démenti péremptoirement avant d'être confirmé par le président de la communauté juive locale , après les défilés d'islamistes devant des synagogues appelant au djihad, voilà qu'un prêtre salésien est assassiné :

Le Point du 18 février nous apprend : "Le père Marek Rybinski, membre de la communauté salésienne de La Manouba, a été retrouvé mort, égorgé, vendredi matin dans la banlieue nord ouest de Tunis. Le corps de ce prêtre polonais, âgé d'une trentaine d'années, économe de sa communauté, gisait près d'un local de l'école où il travaillait, avec ses clés à ses côtés" (...)L'archevêque de Tunis, Mgr Lahham, a célébré une messe vendredi soir à la mémoire du défunt. Il a révélé avoir reçu une lettre anonyme cette semaine, sur laquelle figurait une croix gammée et ces mots : "Donnez votre argent, sales juifs, fichez le camp". Un amalgame à l'image du chaos actuel."

 

Autant de faits inquiétants alors que les "spécialistes" nous assurent que Ben Ali agitait le chiffon rouge de l'islamisme à des fins purement tacticiennes !

Espérons que lors de la stabilisation du futur gouvernement élu, une police  aussi efficace  qu'humaine se mette en place pour surveiller les fous d'Allah

 

Publié par : http://www.islamisation.fr

 

Article lié : Tunisie : un prêtre egorgé

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18 février 2011 5 18 /02 /février /2011 21:16

 Des prêtres priant à la cathédrale de Tunis en avril 2005 pour Jean Paul II

 

L'insécurité en Tunisie et le risque de poussée intégriste ont été illustrés vendredi avec le meurtre d'un prêtre polonais retrouvé égorgé "par des extrémistes" près de Tunis, selon les autorités, et l'attaque d'une rue de prostituées par des islamistes qui voulaient y mettre le feu au centre de la capitale.

 

C'est le premier meurtre à la fois d'un religieux et d'un étranger depuis la chute du régime de Ben Ali le 14 janvier.

 

Le prêtre, âgé de 34 ans, a été retrouvé mort "égorgé" vendredi dans une école privée de la région de Manouba, a indiqué à l'AFP une source proche du ministère tunisien de l'Intérieur.

 

C'est "un groupe de terroristes fascistes ayant des orientations extrémistes qui est derrière ce crime, compte tenu de la façon dont il a été assassiné", a ajouté le ministère dans un communiqué sans préciser s'il visait là des islamistes.

 

Marek Rybinski a été retrouvé égorgé dans le garage d'une école religieuse privée où il était chargé de la comptabilité. Il a été agressé avant d'être égorgé, précise le ministère cité par l'agence officielle TAP.

 

Une poussée de fièvre islamiste avait surgi dans l'après-midi à Tunis: des dizaines d'entre eux ont tenté de mettre le feu dans une rue où travaillent des prostituées.

 

"Des islamistes ont tenté d'entrer dans la rue Abdallaah Guech pour l'incendier", a déclaré à l'AFP un policier tunisien sous couvert de l'anonymat. Une des principales maisons closes de Tunis est située dans cette rue proche de la Medina.

 

"Des habitants les ont empêchés de rentrer dans cette rue jusqu'à l'arrivée des agents des forces de l'ordre qui ont bloqué l'entrée en interdisant tout passage. Ils ont ensuite réussi à disperser ces manifestants", a ajouté le policier.

 

Cette zone a été survolée depuis plusieurs heures par plusieurs hélicoptères de l'armée.

 

"Des groupes ont tenté de s'introduire dans cette rue mais la police savait déjà que des manifestants allaient arriver. Ils ont bloqué les issues et maintenant la rue est gardée par la police et l'armée", a déclaré un commerçant.

 

Les islamistes avaient auparavant manifesté dans le centre-ville en criant "Non aux lieux de prostitution dans un pays musulman".

"On a exigé la fermeture de cette rue, nous sommes dans un pays musulman et nous devons appliquer ce que l'islam exige", a dit l'un d'eux, Hamza, 21 ans.

 

La semaine dernière, la communauté juive de Tunisie avait exprimé son inquiétude au gouvernement après des incidents antisémites devant la grande synagogue de Tunis.

 

"Là, nous sommes dans la vigilance", a répété vendredi le président de la communauté Roger Bismuth. "C'est l'oeuvre de salafistes, les plus extrémistes des islamistes formés par les wahhabites, mais il n'y a pas de terreau en Tunisie pour le développement du salafisme", a-t-il ajouté.

 

Conscient du vide sécuritaire prévalant depuis la chute du régime, le gouvernement avait décidé la semaine dernière de rappeler des réservistes partis à la retraite depuis cinq ans qui ont rejoint l'armée mercredi.

 

Le gouvernement est confronté chaque jour à l'instabilité avec de nombreux braquages à main armée, des manifestations de Tunisiens réclamant desespérément une aide sociale et à l'immigration clandestine de milliers de Tunisiens partis chercher un emploi en Europe.

 

Pour tenter d'apaiser les tensions sociales et répondre aux demandes d'une population exaspérée par le chômage (14%, le double pour les jeunes), le gouvernement a annoncé vendredi une série de mesures d'aide sociale d'urgence à destination des plus défavorisés (allocations financières, titularisation d'ouvriers de chantier, attribution de cartes de soins gratuits).

 

Il a aussi appelé les partenaires sociaux à entamer les négociations dans le privé et le public, demande majeure de la puissante centrale syndicale UGTT, selon son porte-parole Taieb Baccouch.

Enfin, le gouvernement a adopté l'amnistie générale des prisonniers politiques. Un décret-loi doit être annoncé dans les "tout prochains jours".

 

Par Hassan JOUINI et Kaouther LARBI © 2011 AFP

 

Publié par : http://www.bienpublic.com

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18 février 2011 5 18 /02 /février /2011 17:40

trébizonde

 

Des éléments nationalistes turcs ont attaqué l’église catholique Sainte-Marie de Trébizonde, sur la Mer Noire, annonce la presse turque mardi 15 février. C’est dans cette église que fut assassiné, le 5 février 2006, le Père Andrea Santoro, un prêtre fidei donum italien qui desservait cette paroisse comme curé depuis 3 ans.

 

Selon les journaux turcs du 15 février, un groupe de personnes se sont rassemblées il y a quelques semaines dans la cour de l’église Sainte-Marie de Trabzon et ont exigé que l’on décroche la croix au sommet de l’édifice religieux. Ces agresseurs ont scandé des slogans nationalistes, lancé des cocktails molotov et des bouteilles dans la cour de l’église catholique aux cris de “si vous ne descendez pas la croix, nous le ferons nous-mêmes !”.

 

Ces derniers n’ont pas été arrêtés pour le moment. La police n’aurait pu identifier personne sur les vidéos des caméras de surveillance, rapporte le quotidien turc “Sabah”. Les membres de la communauté catholique locale craignent pour leur vie, selon des témoignages de paroissiens.

 

En principe, la Constitution turque de 1982 garantit la liberté religieuse et limite l’exercice du culte aux édifices religieux. L’activité missionnaire n’est pas interdite. Dans la pratique, les minorités religieuses sont cependant victimes de discrimination administrative et sont étroitement contrôlées par le gouvernement. Les activités missionnaires sont réprimées. Depuis plusieurs années, les religieux chrétiens font l’objet d’attaques en Turquie, pays musulman qui aspire à intégrer l’Union européenne.

 

Radio Vatican :

La christianophobie est-elle en train de se développer en Turquie ?

En Suisse, la Fédération des Églises protestantes et la Conférence des évêques catholiques ont uni leurs voix pour appeler à la protection des chrétiens harcelés en Turquie. Dans un communiqué, elles s’insurgent, avec consternation, contre les tentatives répétées des autorités turques d’exproprier le cloître orthodoxe syrien de Mor Gabriel, au moyen de procédures douteuses. La situation s’est encore aggravée ces dernières semaines. Selon les responsables chrétiens suisses, il y a des forces visiblement gênées par des symboles de vie chrétienne. Ils demandent au gouvernement turc de reconnaitre les minorités chrétiennes et de leur garantir le droit à la liberté religieuse.
 

Il y a quelques jours, toujours en Turquie, des éléments nationalistes ont attaqué l’église catholique de Trébizonde où fut assassiné, en 2006, le Père Andrea Santoro, un prêtre fidei donum italien qui desservait cette paroisse comme curé depuis 3 ans. Les agresseurs ont exigé que l’on décroche la croix au sommet de l’édifice religieux.


Les agressions physiques contre les religieux ont fait plusieurs morts en Turquie, dont Mgr Luigi Padovese, président de la Conférence des évêques catholiques, tué à la veille du voyage de Benoît XVI à Chypre en juin dernier.

Sources : RadioVatican    Catho.be  Radinrue.com

 

Publié par : http://www.bivouac-id.com

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18 février 2011 5 18 /02 /février /2011 00:04

Une des deux cloches de l’église Saint-Pierre d’Estrée-Cauchy (Pas-de-Calais) a été volée dans la nuit de samedi à dimanche. Aux alentours de 0h50, une Ford Escort break, garée en marche-arrière, aurait été aperçue devant l’église. Ainsi que quatre hommes en train de charger quelque chose de visiblement lourd dans le coffre. La voiture aurait ensuite rapidement redémarré en direction d’Arras, via la chaussée Brunehaut.

 

Baptisée Emmanuelle, elle datait du XVème siècle et pesait « peut-être 200 kg » selon Dorothée Opigez, adjointe au maire. Brisée (ce qui ne se voyait pas vraiment), elle avait cédé sa place à Francine en 1995, du nom de la donatrice habitant à Aix-Noulette, mais trônait toujours devant l’église. La municipalité l’avait exposée derrière des grilles. Une plainte a été déposée à la gendarmerie.

 

Côme Dubois (source : La Voix du Nord)

 

Publié par : http://www.christianophobie.fr/

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17 février 2011 4 17 /02 /février /2011 17:48

Samedi 5 Février 2011

 

Dans la nuit du samedi 5 février, cinq tombes ont été dégradées au cimetière de la Croix des Bergers, rue Louise-de-Bettignies, à Leers, près de Roubaix.

Aucune inscription n'a été relevée, mais des éléments de stèle ont été renversés et des monuments déplacés. Selon le maire qui s'est rendu sur place, rien n'a été cassé.
Les familles concernées ont déposé plainte et une enquête a été ouverte par les services de police.

« C'est la première fois qu'un tel événement se produit à Leers », assure Jean-Claude Vanbelle.

Sans accuser personne, le maire suppose toutefois que les auteurs des faits sont « des jeunes qui ont voulu s'amuser ». Le journaliste de Nord Eclair, pour une fois, s'étonne d'un tel vocabulaire : "Drôle de divertissement".

 

Cette affaire n'émeut pas seulement le maire. Le groupe d'opposition CapLeers crie au scandale :

« Stop, ça suffit ! Quels genres d'individus peuvent s'en prendre aux morts ? C'est lamentable. »

L'enquête de police permettra peut-être d'en savoir davantage sur les auteurs des dégradations et leurs motivations.
(Bah, les motivations qui seront données, nous les connaissons déjà !...)

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